Attrape ce que Dieu te donne - La FOI

 La foi : une affaire de FOI, de CONFIANCE

Abraham, Père de la FOI

Lorsque nous lisons l’histoire de Papa Abraham, parfois, on passe vite sur les faits. On trouve cela logique et puisque cela fut écrit pour notre édification, nous en tirons des leçons pour la vie sans toute fois nous identifier à ce qu’a vécu le patriarche. Pouvons-nous, prendre un instant, pour étudier et comprendre pourquoi c’est ce patriarche, en particulier, qu’on appelle « Le père de la Foi ».

Qu’a-t-il fait de particulier pour être présenter de la sorte ?

Je vais, pour cet article et son contexte, vous partager ce qu’il m’a le plus fait réfléchir dans l’histoire du patriarche. Il y a, dans sa vie, un aspect que je me suis toujours interroger sur ce qui s’est réellement passé, le sentiment qu’il devait ressentir, les émotions qui ont parcouru son corps à ces moments-là…

C’est moi le compteur mais je suis impatient de relater cette portion de la vie du prophète Abraham, le patriarche, le Père de la FOI.

Chuuuuut, ça commence :

Abraham et Sarah heureux avec leur fils Isaac, le fils de la promesse

Il était une fois, un vieux père, qui était heureux car après des longues années d’attente d’une promesse qui lui avait été faite par Dieu, il avait enfin obtenu gain de cause. Il avait enfin eu un fils avec sa femme légitime (la femme de la promesse) selon la promesse reçue. Il appela cet enfant du nom de Isaac. Il était comblé, heureux et accompli. L’héritier tant recherché, tant désiré, l’héritier pour lequel il avait tant soupiré était là, le vieux père pouvait dormir en paix…

Puis vient un jour, Celui qui avait tenu la promesse Lui dit : « Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai » (Genèse 22 : 2 Louis Segond).

Le patriarche, sans discuter, sans poser des questions, se leva, scella un âne, pris le nécessaire (son fils y compris), et deux de ses serviteurs et se mit en route vers la direction qu’il avait reçu. WAOW

Je marque une petite pause, ici, pour dire combien je suis admiratif de mon patriarche et aussi pour dire combien je suis challengé par sa vie, parce qu’encore dernièrement, face à certains défis de la vie, je me demandé : comment il a fait pour avoir cette confiance ? cette foi ?

Bon, continuons :

Motivé hein Papa Abraham sachant qu'il s'en va tuer son fils. 
son visage est serein, je ne connais pas comment était son cœur. 

Après trois jours de marche, il vit de loin la montagne ou il devait présenter l’holocauste. Il dit à ses serviteurs : « mes gens bien, vous allez attendre ici, jusqu’à ce que nous revenions à vous ». Ils obéirent à leur maître. Le patriarche continua donc le chemin vers la montagne avec tout le nécessaire. C’est alors que son fils Isaac posa la question : "Mon Père, je vois le bois, je vois le feu…mais je ne vois pas l’agneau pour l’holocauste".

« Celui qui nous a envoyé ici va se pourvoir Lui-même de l’agneau pour l’holocauste, soit tranquille mon enfant, mon fils bien aimé, celui que j’aime tant ».

Arrivé sur le lieudit, gentiment, tranquillement, patiemment il prépare l’autel, place et dispose le bois comme il faut, il prend son fils (qui s’est laissé faire), il l’attache bien comme il faut également. Vient le moment fatidique, il prend le couteau pour tuer son fils, son unique, celui qu’il aime…

L'image est pour aider à imaginer la scène... 

Pause de suspense : son fils n’a pas fui, parce que s’il courait, le patriarche ne pouvait pas le rattraper. Il était trop vieux. A quoi pensait-il à ce moment-là ? Quel était son sentiment ? Papa Abraham, comment tu as fait ? D’où t'es venu cette confiance ???????

Atterrissons en douceur :

Couteau à la main, le regard vers le ciel, le patriarche était prêt, décidé et déterminé à offrir son fils, son unique, celui qu’il aime. Son cœur était prêt à perdre ce qu’il avait de plus cher au monde mondial, pour son DIEU. Le patriarche avait « ECOUTE » et « OBEIS ». Je ne sais pas si Isaac pleurait ou il regardait son père… mais personne ne parlait en ce moment là (je suppose). L’atmosphère était surement chargée d’émotion mais aussi de prière dans le cœur, de supplication, d’action de grâce et que sais-je encore.

Puis soudain : Dieu intervient… nous connaissons la suite de l’histoire.

Les deux serviteurs heureux de revoir l'enfant de leur maitre en vie. 
Ils se posaient des questions mais ne pouvaient rien dire 😅

Mon zoom est sur ce qui se passe avant le grand basculement. Je prie pour tous ceux qui liront cet article afin que Dieu nous fasse grâce d’avoir ce niveau de confiance en LUI, de FOI en LUI. Car la FOI est la main avec laquelle on attrape ce que DIEU nous ENVOIS : Bénédictions, épanouissement, paix, succès, bonheur, joie, justice, entreprises, prospérité, héritage, guérison…

C’est merveilleux de voir comment mes écrits me parlent, WAOW ! Dieu me dit des choses en passant par moi-même !! en tout cas, Dieu est tout simplement WAOW !! AMAZING !!

J’espère que vous prenez autant de plaisir de me lire que moi à nous écrire.

On se donne rendez-vous au prochain article

D’ici là, que Dieu vous garde !